jeudi 24 décembre 2009

Joyeux Nonël à tous...

... Portez vous bien. Soyez fous, perdez le contrôle ne serait-ce qu'un instant mais sans prendre de véritable danger, sentez un frisson, que c'est bon...

Oui je sais je dis n'importe quoi (ou pas) mais là voyez vous je suis dans une phase d'insomnie post repas de noël et pré anniversaire... Bientôt je vais être grande, très grande et ça me fait peur. Je regarde derrière et je vois quoi ? De la peur, de pas être assez comme ça, de pas plaire à lui, de pas savoir que dire à l'autre. Je n'ose pas assez mais dans les périodes de ma vie où j'osais, je me sentais vivante, tout simplement. J'avais un rêve pendant cette période. Et c'est là que le bas blesse. Depuis septembre dernier je n'ai plus ce rêve, à cause de gens trop bien pensants, qui ont pensé pour moi, qui ont fait malgré eux que je suis triste depuis ce mois là. Heureusement certains amis sont là même quand le bateau chavire, quand les doutes ne font plus qu'une boule au ventre perpétuelle, qui tarde à partir.

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Alors oui ce soir, je fais preuve d'un brin de folie, de brut-de-décoffrage (freinage mal géré ?) peut-être, de franchise, surtout mais j'en ai marre de me cacher sous un masque de tristesse ou de potiche qui ne fait que sourire aux soirées au lieu de participer et de s'affirmer comme je le faisais naguère.

J'aime la vie. La photographie est ce qui me rend heureuse. Maintenant, bas les pâtes, je dégaine mes appareils, en premier les argentiques, et qui aimera verra...

Je vous souhaite de bonnes fêtes après cet égotrip. Excusez mais que ça fait du bien parfois quand la nuit vous retient, de s'exprimer.

Merci Mansfield Tya de partager cet instant de grâce.

samedi 19 décembre 2009

jeudi 3 décembre 2009

Flou jazzeux.

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On se confine dans une ambiance, dans un sentiment, on s'englue dedans comme une mouche dans du miel, on arrive pas à en découdre et puis un soir, on se pose seule et on se rend compte que prendre du recul parfois ça fait du bien. Même si ça ne dure qu'une soirée, la sérénité est douce.

Mais une question perdure toutefois : pourquoi ce flou perdure-t-il ?