J'avais vu les affiches. Sans me soucier de qui l'avait réalisé, encore moins de quelle histoire il retournait.
(photo prise sur Allociné)
Hier soir, avec un ami, on décide d'aller au cinéma. Tiens, c'est de Quentin Tarantino ce film, allez, on y va. Juste pour voir du Tarantino. Je lis avant d'y aller, en secret, le synopsis. Mais comme un bonbon dont vous vous voulez savourer tous les aspects sensoriels, je m'arrête à ma première lecture et basta, je fonce.
On arrive et là, c'est... Indescriptible. Troublant, fort, mêlant une partie de l'histoire qu'on ne connaît que trop bien et qui là est menée d'une façon... Waw. J'en reviens toujours pas.
Sur ce, n'osant rien vous dire ici de peur de vous révéler quelque secret super important, je vous conseille d'aller voir. Vraiment.
lundi 24 août 2009
vendredi 21 août 2009
La Révolution, ce vilain gros mot.
Une phrase sur un abribus : "La guerre ! C'est une chose trop grave pour la confier à des militaires"...
Puis une phrase dénichée dans un vieux Monde diplomatique, d'un grand écrivain : "et l'on voyait marcher ces va-nu-pieds superbes sur le monde ébloui" en parlant de la Révolution, disait Hugo.
Et savez-vous ce que a dit notre chère Laurence Parisot ? Et bien ceci : "J'adore l'histoire de France mais je n'aime pas beaucoup la Révolution. Ce fut un acte d'une violence extrême dont nous souffrons encore. Il a obligé chacun d'entre nous à être dans un camp."
Pour ceux qui suivent ce blog, qui ont suivi l'ancien, peut-être même sans doute savent ils à quel point l'acte de Révolution est important pour moi. De voir écrit ça ça me ... .
Sur ce, bon week-end en paix à tous. Dieu vous bénisse tous.
Puis une phrase dénichée dans un vieux Monde diplomatique, d'un grand écrivain : "et l'on voyait marcher ces va-nu-pieds superbes sur le monde ébloui" en parlant de la Révolution, disait Hugo.
Et savez-vous ce que a dit notre chère Laurence Parisot ? Et bien ceci : "J'adore l'histoire de France mais je n'aime pas beaucoup la Révolution. Ce fut un acte d'une violence extrême dont nous souffrons encore. Il a obligé chacun d'entre nous à être dans un camp."
Pour ceux qui suivent ce blog, qui ont suivi l'ancien, peut-être même sans doute savent ils à quel point l'acte de Révolution est important pour moi. De voir écrit ça ça me ... .
Sur ce, bon week-end en paix à tous. Dieu vous bénisse tous.
jeudi 20 août 2009
Aguijonear.
Esperanza.
lundi 17 août 2009
Je ne rêve plus.
Devenir cinglée... & Se taper la tête contre les murs... Multiplier sûrement toutes les fractures... Cumuler l'absence et la torture... Ensommeillée. Je ne rêve plus. Une insuffisance respiratoire, un goût amer choquant et monstrueux. Raconte à présent je peux entrevoir le souvenir de tous ces songes collés... Je ne rêve plus.
Elles sont plus jolies quand tu es là. Le monde autour n'existe plus. Je suis plus calme dans tes bras.
Chaque jour je me le dis comment la nuit... Je ne rêve plus. Il y a des gens comme moi qui ont besoin d'autre chose que de manger pour exister. Mon corps réclame aussi ce venin qui injecté à mes journées me fait oublier... que... Je ne rêve plus que je ne fais que pleurer comme une malade mentale qu'on aurait pas soigné. Je ne rêve plus. que... Je ne rêve plus que je ne fais que pleurer comme une malade mentale qu'on aurait pas soigné. Je ne rêve plus.
Elles sont plus jolies quand tu es là. Le monde autour n'existe plus. Je suis plus calme dans tes bras.
Chaque jour je me le dis comment la nuit... Je ne rêve plus. Il y a des gens comme moi qui ont besoin d'autre chose que de manger pour exister. Mon corps réclame aussi ce venin qui injecté à mes journées me fait oublier... que... Je ne rêve plus que je ne fais que pleurer comme une malade mentale qu'on aurait pas soigné. Je ne rêve plus. que... Je ne rêve plus que je ne fais que pleurer comme une malade mentale qu'on aurait pas soigné. Je ne rêve plus.
dimanche 16 août 2009
Mamie, excuse moi d'pas avoir parlé.
Mamie excuse moi de pas avoir parlé avec toi. J’aimerai bien pourtant. Mais ce que je t’aurais dit, tu devais déjà le savoir depuis longtemps. Parce que sinon. (reprend sa respiration) Tu n’aurais pas dit aussi souvent « écoute moi ». Les autres ils dit que tu es partie. (tournement de pages d’un cahier où tout est écrit). Tu as oublié de me dire où tu es allé. Donc à mon avis ça doit être un endroit qu’on connaît tous.
(il regarde une photo de sa grand-mère apposée au mur)
Mamie. Il y a trop de choses que je sais pas. Donc tu sais ce que je ferais quand je serais grand. Je dirais aux gens les choses qui ne savent pas. Et je leur montrerai les choses qu’ils ne voient pas. A mon avis ça serait surement très très rigolo. Et peut-être qu’un jour j’y arriverais à savoir là où tu es partie. Et alors est-ce que je pourrais le dire aux autres et les amener avec moi pour aller te voir ?
Mamie tu me manques, surtout quand je vois le petit cousin, celui qui n’a pas de prénom.
Je me rappelle que tu disais bien que tu sentais le poids des années. J’ai beaucoup envie de lui dire que moi aussi, je me sens très vieux.
Cinq instants & une infinité de ressentis.
Un couple extra-ordinaire.
Trois persos, oui j'aime bien le chiffre trois et alors ? Non je ne suis pas psychorigide :P
Une dame, une surexp' volontaire. Ca plaît ou pas.
Des reflets. Plusieurs personnes s'engageant dans le jeu de la vie. Sans le savoir, sans le vouloir. Quel beau pouvoir on a en photographiant des scènes de la vie ordinaire.
Sud, Nord ? ...
samedi 15 août 2009
À la croisée des chemins
vendredi 14 août 2009
Devenons tous des Elliott Erwitt...
Et le monde sera certainement meilleur.
Non, non, ce n'est pas une parole d'évangéliste ou de fana de Nostradamus, ce n'est juste qu'un cri du coeur, pour un photographe au combien talentueux mais plus que ça. Il s'est affirmé et affiché en prenant foudrament des chiens. A leur hauteur. Mais pas que.
Il aime les enfants écrit Polka, les chiens, les stars et la mer. Génial. Un subtil mélange satirique de tout ça en constitue l'essence, rajoute le magazine de photojournalisme que j'ai connu par un ami à moi. Merci à lui d'avoir un jour laissé choir dans sa demeure un de ces précieux magazines comme on en fait plus par chez nous. Enfin, je suppose. Sinon, avec son leica (que dis-je ses deux leica... :D) il va me tomber sur le râble.
Que nenni.
Magnum. Robert Capa. Que des têtes d'affiche qui font rêver.
Des amis comme Cartier-Bresson, ça aussi ça laisse songeur plus de deux minutes, n'est-ce pas les zamis ?
Bref, à mon merveilleux Poste 4 à la S.N.C.F. de 20h à 1h du matin, bercée par les retards, mâtinée par les correspondances, je lisais discrètement mais sûrement mon Polka n°3 que j'avais oublié sur une tonne d'autres revues.
Je me suis même prise à faire des fiches des grands de grands. Travail fort intéressant à ses heures perdues.
Je vous mettrais quelques citations.
Pour l'heure, je suis diaphane, je rejoinds mon lit bercée par la douce mélopée de Melody Gardot.
Non, non, ce n'est pas une parole d'évangéliste ou de fana de Nostradamus, ce n'est juste qu'un cri du coeur, pour un photographe au combien talentueux mais plus que ça. Il s'est affirmé et affiché en prenant foudrament des chiens. A leur hauteur. Mais pas que.
Il aime les enfants écrit Polka, les chiens, les stars et la mer. Génial. Un subtil mélange satirique de tout ça en constitue l'essence, rajoute le magazine de photojournalisme que j'ai connu par un ami à moi. Merci à lui d'avoir un jour laissé choir dans sa demeure un de ces précieux magazines comme on en fait plus par chez nous. Enfin, je suppose. Sinon, avec son leica (que dis-je ses deux leica... :D) il va me tomber sur le râble.
Que nenni.
Magnum. Robert Capa. Que des têtes d'affiche qui font rêver.
Des amis comme Cartier-Bresson, ça aussi ça laisse songeur plus de deux minutes, n'est-ce pas les zamis ?
Bref, à mon merveilleux Poste 4 à la S.N.C.F. de 20h à 1h du matin, bercée par les retards, mâtinée par les correspondances, je lisais discrètement mais sûrement mon Polka n°3 que j'avais oublié sur une tonne d'autres revues.
Je me suis même prise à faire des fiches des grands de grands. Travail fort intéressant à ses heures perdues.
Je vous mettrais quelques citations.
Pour l'heure, je suis diaphane, je rejoinds mon lit bercée par la douce mélopée de Melody Gardot.
mercredi 12 août 2009
mercredi 5 août 2009
Sonic Youth ou la découverte d'un ovni.
Cette nuit, impossible de trouver le sommeil.
Alors.
Alors je me mets à lire le premier Rock & Folk de ma vie.
Je dévore les images de Dominique Tarlé, "le Français" et puis je tombe sur un article de Sonic Youth.
J'en avais plus ou moins entendu parler mais sans véritablement m'y intéresser.
Là, je découvre un groupe de 50aires bien trempés, de personnages bizarres mais lucides qui ont l'air de plus jouir de la vie dans une concupiscence extrême que de subir le système des labels etc.
Ils ont décidé de revenir après une longue absence dans un label indépendant.
Un choix.
Ils ont pondu un opus que tous les connaisseurs attendaient apparemment avec une impatience frénétique.
Je ne connais pas très bien voire très mal le son de cette "Jeunesse Sonique" mais après avoir lu cet article supersonique, ma curiosité a été fort aiguisée.
Une petite incartade "littéraire" :
Alors.
Alors je me mets à lire le premier Rock & Folk de ma vie.
Je dévore les images de Dominique Tarlé, "le Français" et puis je tombe sur un article de Sonic Youth.
J'en avais plus ou moins entendu parler mais sans véritablement m'y intéresser.
Là, je découvre un groupe de 50aires bien trempés, de personnages bizarres mais lucides qui ont l'air de plus jouir de la vie dans une concupiscence extrême que de subir le système des labels etc.
Ils ont décidé de revenir après une longue absence dans un label indépendant.
Un choix.
Ils ont pondu un opus que tous les connaisseurs attendaient apparemment avec une impatience frénétique.
Je ne connais pas très bien voire très mal le son de cette "Jeunesse Sonique" mais après avoir lu cet article supersonique, ma curiosité a été fort aiguisée.
Une petite incartade "littéraire" :
J'ai horreur de la musique de fond, d'abord parce qu'il n'y a pas plus vulgaire, ensuite parce que les mélodies les plus belles peuvent parasiter la tête au point de devenir des scies.
Il n'existe pas d'amour de fond, de littérature de fond, de pensée de fond : il existe le fond sonore, cette puissance, ce poison.
Seul le bruit des coups de feu surnageait de ma prison acoustique.
dimanche 2 août 2009
Il était une fois une petite bourgade...
samedi 1 août 2009
Opiumement vôtre.
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