Souvenirs - souvenirs

Un jardin plus occidental que japonais mais bon, le style y est et le repos souvent l'accompagne.



Une bourrasque de vent, des feuilles, un flou pas super bien senti m'enfin, ça rajoute un quelque chose.
Ou pas.



Pour finir, une manif, un regard qui retient mon attention. Je shoote et j'ai.
Merci jeune fille en fleur...

Un chant d'amour.

Mansfield TYA.

Requinchips

Retour aux sources ou "au bonheur de Manon".

Une plage. Des souvenirs. Des premiers pas. Une mélancolie.



Une ombre chinoise. Un ami. Des rires.



Une artiste. Un graff qui se fait vandaliser. Des menaces de mort. La peur. On efface.



Un monsieur qui parfois a la tête plus dire que le béton et ne veut entendre raison.
Pourvu que le temps fasse son office.

Une après-midi sous haute tension.

Un job de 4h à midi, ensuite je file rejoindre sur un marché aux puces une fille rencontrée hier dans la rue, une fille avec un étui à violon en dur, en bois, peint en mauve et qui m'a plu de suite.
Je lui ai parlé, on a engagé la conversation et cela c'est révélé plus que fructueux.



Aujourd'hui, vers 12h30, on se retrouve dans le cloître du musée Raymond VI. L'endroit est charmant, elle a des faux airs de Lali dans une série B de l'époque.
Elle est douce, me parle.
Elle m'amène dans un salon de thé marocain.
Sort son violon.
Met de la chlorophane.
Me regarde avec un sourire ténébreux et joue.
Un machin typique des gens du voyage m'a-t-il semblé.
Un 'spèce de "chat noir, chat blanc" à la Kusturica mais pas que.

Cette fille a un quelque chose d'autre que n'ont pas les autres nénettes dans son genre.
Elle a ce je sais quoi de beauté que je recherche chez quelqu'un, ce quelque chose que je veux revoir très vite.

Rendez-vous pris le mardi qui suit. 14h. Dans la ville rose.



Merci à toi, Emeline.

Ingres a beau dos.

Moi. Un camping. Un regard d'un Monsieur. Des notes qui volent ça et là.
Elles me dévorent.
Malgré la fausseté de la chose, je rêve de jouer, de m'amuser, de toucher aux étoiles. Oui oui c'est pompeux et plus pour le lyrisme de l'instrument.



J'ai dit tout à l'heure à K que depuis petite, je songeais, je rêvais d'acquérir un jour, un violon, un violoncelle ou une contrebasse. Ce sont les trois instruments que je trouve les plus remarquables dans un orchestre classique.

Aujourd'hui je possède un des trois.
Demain, je retrouve la jeune fille à l'étui mauve qui m'amène rencontrer un monsieur à Saint Sernin qui vend des accessoires pour violon et comme mon étui est foutrement abîmé, je vais m'en offrir un tout beau, tout petit et tout en bois.
Voilà c'est tout.

Loupiotte & cie.

Une soirée somme toute classique, avec des musicos de la faculté du Mirail.
Quelques portraits qui restent, parmi des dizaines et des dizaines de photographies que j'ai fait ce soir là.



Sur ce, je vais me calmer, arrêter de retoucher des photos et me forcer à aller au lit.
Rah, être seule toute une soirée, c'est le mal.





Les gens sur les photos sont de haut en bas : le monsieur qui tient la Loupiotte à St Cyprien, les musicos (bon je vais pas tous les nommer... heing), Donatien et enfin, Tonton Cristobal.

Bon dodo à tous les passionnés du monde.
Les autres ? Ils ont à qu'à bien se tenir, non mais ;)

J'voudrais pas crever.

Boris Vian.

Bison Rusé, ô oui !



Je voudrais pas crever
Avant d'avoir connu
Les chiens noirs du Mexique
Qui dorment sans rêver
Les singes à cul nu
Dévoreurs de tropiques
Les araignées d'argent
Au nid truffé de bulles
Je voudrais pas crever
Sans savoir si la lune
Sous son faux air de thune
A un coté pointu
Si le soleil est froid
Si les quatre saisons
Ne sont vraiment que quatre
Sans avoir essayé
De porter une robe
Sur les grands boulevards
Sans avoir regardé
Dans un regard d'égout
Sans avoir mis mon zobe
Dans des coinstots bizarres
Je voudrais pas finir
Sans connaître la lèpre
Ou les sept maladies
Qu'on attrape là-bas
Le bon ni le mauvais
Ne me feraient de peine
Si si si je savais
Que j'en aurai l'étrenne
Et il y a z aussi
Tout ce que je connais
Tout ce que j'apprécie
Que je sais qui me plaît
Le fond vert de la mer
Où valsent les brins d'algues
Sur le sable ondulé
L'herbe grillée de juin
La terre qui craquelle
L'odeur des conifères
Et les baisers de celle
Que ceci que cela
La belle que voilà
Mon Ourson, l'Ursula
Je voudrais pas crever
Avant d'avoir usé
Sa bouche avec ma bouche
Son corps avec mes mains
Le reste avec mes yeux
J'en dis pas plus faut bien
Rester révérencieux
Je voudrais pas mourir
Sans qu'on ait inventé
Les roses éternelles
La journée de deux heures
La mer à la montagne
La montagne à la mer
La fin de la douleur
Les journaux en couleur
Tous les enfants contents
Et tant de trucs encore
Qui dorment dans les crânes
Des géniaux ingénieurs
Des jardiniers joviaux
Des soucieux socialistes
Des urbains urbanistes
Et des pensifs penseurs
Tant de choses à voir
A voir et à z-entendre
Tant de temps à attendre
A chercher dans le noir

Et moi je vois la fin
Qui grouille et qui s'amène
Avec sa gueule moche
Et qui m'ouvre ses bras
De grenouille bancroche

Je voudrais pas crever
Non monsieur non madame
Avant d'avoir tâté
Le goût qui me tourmente
Le goût qu'est le plus fort
Je voudrais pas crever
Avant d'avoir goûté
La saveur de la mort...



Boris Vian

(la version de Romain Humeau : http://www.dailymotion.com/video/xzw2q_je-voudrais-pas-crever_music)

J'aime. Plus que ça, je dévore en général.

Quand j'ai découvert ce texte, interprété par Romain de Eiffel, j'en ai eu les frissons.
Je viens de retrouver les paroles sur mon ancien blog, je vous mets tout ça ici donc.
Et même si c'est le long et que le blogeur n'aime pas lire, ou s'attarder sur de longs textes, là c'est si ... que SI, il faut que je le fasse.

Bonne soirée les gens !

Die for me (if I say Please).

Une certaine Charlotte (comme le monde est petit) a écrit un article sur l'E.P. de My Own Private Alaska. Groupe toulousain au demeurant fort sympathique mais qui se révèle d'une complexité émouvante quand on s'attache à lire ce que cette fille dit d'eux, de son "ressenti", des origines du groupe, musicalement parlant mais pas que. "My Own Private Idaho" est une source d'inspiration que m'a révélé Milka (le chanteur) ce soir là, du concert s'entend.

Gus Van Sant c'est pas rien quand même.
Pour avoir vu plusieurs perles de lui, je pense qu'écouter M.O.P.A d'une oreille neuve peut être bénéfique pour le badaud qui réside en ce moment même sur ces pages.

Ecoutez, découvrez, retentez si la première écoute fut difficile, ce que je peux tout à fait comprendre.
Mais juger sans savoir, sans s'être un minimum informé, sans avoir été attentif, aux textes (bon moi qui parle plus espagnol qu'anglais j'ai du mal, mais Charlotte en parle divinement bien dans son post), aux sons.

Les trois personnages parce qu'ici on peut je pense parler de "personnages".
Ils se créent un monde, onirique pour certains, glauque pour d'autres, classique métalleux pour beaucoup mais pas que.

J'ai relevé quelques bribes du post de Charlotte que j'ai envie de mettre ici & maintenant pour vous donner envie de lire son article et d'écouter ce groupe assez spécial mais unique en son genre :

Chant screamo - cabaret rock - trois âmes éviscérées - un trio, un blues romantique à la sauce hardrock - musique exutoire - a-coups brutaux - growl de fond - l'osmose.

Si Charlotte repasse ici et que les rideaux ou la façon d'amener ça la dérange, qu'elle me fasse un signe de la main ;)

Son blog ici où vous trouverez des critiques plus que constructives sur des groupes musicaux uniques chacun dans leur matière : http://coanthem.blogspot.com/2009/07/my-own-private-alaska-ep.html

Sur ce, je vous laisse sur un dernier cri :

Mon pire cauchemar...

Avez-vous lu 1984 de Georges Orwell ? Si oui, vous rappelez-vous de la fin ? Réfléchissez y sérieusement car la vie réelle n'est pas très loin de cette torture qu'explicite le film.
Il faut creuser, être curieux de tout et on peut - je pense - comprendre bien des choses, les ficelles de notre économie mondiale, de notre diplomatie sociale, de notre société sociétale, de notre chaleureux G8 qui ne veut plus rien faire pour notre belle planète. Heureusement qu'on a Yann Arthus-Bertrand parce que sinon ! C'est de l'humour pour ceux qui prendraient ça au premier degré.

Aie aie, dire ça sur le net m'expose à un fichage, quoi que ? Suis-je déjà fichée ? A votre avis ?
Si je dis ça et que je ne montre pas patte blanche, penserez-vous que je suis une méchante ?

Parfois, de plus en plus d'ailleurs, je m'amuse à penser que je suis dans "The Truman show" et parfois le hasard des choses fait tellement bien son office que je m'y crois vraiment.
Et je vous prie de croire que ça fait plus que tout bizarre, ça fout carrément les chtons.

Sur ce, je vais vous concocter un petit post sur - oui encore, je l'entends déjà - M.O.P.A.

Bonne soirée quand même et belle vie jusqu'à avant-hier...

La cicatrice, guérir.

Milka et son légendaire "cri" venant du plus profond de ses tripes.



Je suis allée voir My Own Private Alaska en concert au Saint des Seins à Toulouse début juillet et c'était assez...
Comment vous expliquer ?
Ben déjà M.O.P.A. c'est un Tout. Ils sont trois, dont le chanteur ici présenté sur cette photo qui parmi les dizaines de photos que j'ai fait de lui - ce soir là - m'a semblé la plus "juste".
Elle reflète parfaitement ce que je ressentais à ce moment précis de la prise de vue. C'est-à-dire un CRI, des frissons partout sur le corps. Mais des frissons de je ne sais où.
C'était spécial comme ambiance : entre beauté, métal, classique et hystérie.
Envoûtant et déroutant, un mélange peu commun.

Bien en somme.

Merci M.O.P.A. et à bientôt j'espère pour une séance photo improvisée.
Merci à vos trois pour vos dédicaces et votre gentillesse.

Power of the Gospel

Je me souviens...
Je me souviens d'une chose.
Cette chose avait deux yeux, un nez cacahouète et une belle bouche.
Cette chose n'en était pas une.
Non, c'était un humain tout ce qu'il y a de plus vrai.
Justement la personne en question est vraie, très même trop parfois.
Elle me fait peur par sa simplicité.
Elle est belle de simplicité mais pas de simplification.
Je l'aime comme elle l'est.
Ce personnage m'a posé une question la nuit dernière et je n'ai su lui répondre.
Je me suis longtemps questionnée sur ce manque de réponse à l'instant T.
Je ne suis pas désinvolte et quand quelque chose me tracasse, ça peut me prendre le temps qu'il faudra mais je parviendrai tôt ou tard à une réponse.
J'ai cherché.
J'ai cherché et j'ai eu ma réponse.
C'était ma faute.
Je n'avais pas été assez à l'écoute de cette personne qui s'est cru à tel moment ainsi parce que...

J'aime cette personne.
Désormais je vais faire attention de ne plus la brimer malgré moi.
Promis, juré, craché !

Assurance adaptée, budget maîtrisé.

Une image volée à travers une vitre de bus.

Buller

...



Comme un poisson chinois avec leurs gros noeils globuleux... C'est drôle ça, n'est-ce pas ? Non, en fait. Oui, ö ça va Monsieur K, je vous vois là, en train de sourire et de me dire que oui, mes photos ne sont pas rigolotes et que non, je ne gagnerai certainement pas ce foutu concours photo...
Ahah, la vie est géniale décidément et moi je ne fais que poster.

...

Aurevoir.

Bonjour Tristesse !

Adieu patachon...

Je vous salue Monsieur père de la Cité pour nous faire perdre notre pain quotidien.



J'écris n'importe quoi, là oui, mon cher Ludovic.
Si j'aime ce que fait Cmax c'est parce que oui, je n'ai peut-être pas "votre" recul, mais je sais ce que je dis. Après certes Larcenet est doué, il est lui aussi un fief investigateur, soit !

Moi je parlais plus sur ce dernier post de ressenti, le vrai, celui qui vous fait avoir des frissons, qui vous fait pleurer, qui vous donne le gerbe (pas en l'espèce).

Je te le redis, et aux autres également : Oui j'aime les oeuvres de Maximilien Le Roy mais plus par leur intensité et leur valeur morale, humaniste à outrance, par leur beauté. Oui j'ai lu Kamila d'une traite et j'ai bouffé Gaza en quelques minutes. J'ai du arrêter ce dernier à la moitié tellement l'horreur montrée avec autant de véhémence me foutait le mal au bide.

Et oui, pendant bien une semaine je n'ai pas pu dormir sur mes deux oreilles tellement la merde créée par l'Homme me fait chier.
Oui je me sens mal d'être l'un d'eux.
Oui j'aime l'Homme.
Oui je veux être photo reporter pour montrer aux gens que la vie ce n'est pas Peter Pan, les informations sur TF1 et que la société spectacle a ses limites.

Oui, je veux faire que les photos dégagent la merde des yeux des gens.
Oui, je veux faire de l'humanisme ma ligne de conduite dans mon futur et très proche métier.

Oui je pense que l'humain est égoïste, vil, méchant de nature. Oui je pense comme Hobbes, l'homme est un loup pour l'homme.
Et oui, même sous mes faux airs de deux airs, j'aime les hyppies mais pas trop, parce que leur philosophie de "tout le monde est beau, tout le monde il est gentil", ça va une minute mais pas deux. (même si ce que je dis peut passer pour des lapalissades, je tiens à tout dire, merci.)

Je crois profondément en la bonté mais l'homme ne me montre en ce moment que son côté gratuit et méchant.

Qui croire alors ?

Sur ce, je vous souhaite une belle fin de soirée.

Dodeliner

Et penser que le présent n'est pas si mal que ça, en fait.

Zarathoustra

Salut Ô toi Toulousain (ou autre) désinvolte ou pas !



Je voudrais te présenter un auteur de bandes dessinées assez extra-ordinaire. Il a écrit sur le mur entre Palestine et Israël, sur une fille qui répondait au doux nom de "Kamila", il a aussi traité des sujets comme le sionisme, le terrorisme, la guerre et maintenant Nietzsche.

Ce que j'aime le plus chez lui c'est sa manière d'aborder son travail de dessinateur. Il est engagé et ne s'en cache pas mais ça va au-delà de ça, c'est tout le travail préparatoire qu'il réalise pour tous ses projets BD. Pour "Gaza" il est parti sur les traces de ces personnes qui souffrent en silence; pour Nietzsche, il est allé dans toutes les villes empruntées par le grand monsieur auparavant.
Ce travail de fourmi est assez rare pour un auteur de BD.
J'ai aimé Pratt, j'ai adoré Bilal mais là je suis en train de kiffer grave Cmax... :D

Ce garçon s'appelle Maximilien LeRoy et son blog répond à l'appelation suivante : Cmax. (en lien à gauche avec mes autres "couleurs pastels")

J'ai acheté "Gaza", une idée à lui, de chercher plein de personnes (journalistes, photographes, écrivains, philosophes, dessinateurs, autochtones...) qui puissent raconter leur vie là bas avec la colonisation plus ou moins avouée d'Israël...

Il aime la bichromie, la culture, les gens.
C'est une bonne personne comme on en rencontre peu, même virtuellement parlant.
Voilà, je voulais vous le présenter, même si je ne le connais pas moi-même, mis à part par le biais de blogs interposés, intercalés...

Le net, ça sert à ça aussi, me semble-t-il.

Willy RONIS...

... Un vieux bonhomme de 99 ans qui fut un des plus grands humanistes photo-reporter de notre belle jeunesse engagée et sur tous les fronts.



Il côtoya Robert Doisneau, Edouard Boubat et rien que ces deux là, c'est "waw"... On dit de lui que "c'est l'un des photographes majeurs de cette école française de l'après-guerre qui a su concilier avec talent les valeurs humanistes et les exigences esthétiques du réalisme poétique."

M... Ayo !

Hier, jour de congès à la SNCF, je décide de m'évader, dans le sens propre comme figuré.
Je propose à monsieur K une balade dans notre région qu'on connaît si mal, direction Albi.
Et là, on découvre une petite bourgade fort sympathique avec des gens charmants prêts à rendre service, et tout à coup, on entend du son. On s'approche.
Une place, un coeur historique.
Une scène, on demande qui passe ce soir.
Et là ! Piouf : Ayo en tête d'affiche et 3 acolytes, dont la demie-sœur d'Arthur H (fille d'Higelin) qui a envoyé du steack je vous dis pas. Une espèce de petite bonne femme avec la voix de Janis Joplin. Superbe.
Avant un petit groupe sympa mais sans plus et après Julien Doré. Mais nous on était là pour une seule personne, Ayo.
Elle s'est faite attendre, désirer, comme elle le devait.

Cette grande dame a fait son entrée sur un rythme africain entêtant à souhait, a dansé pieds nus à la fin et à rendu un bel homme au roi de la pop en chantant le tub qui l'avait propulsé au rang de KING à 11 ans.
Elle a également repris du Lauryn Hill, c'était sublime mais trop court.

Elle a ensuite fait son répertoire, qui est soit dit en passant super réussi. Je connaissais qu'un album éponyme me semble-t-il et waw déjà ça m'envoutait pas mal. Mais là, quelle femme !
Tout dans la légèreté, dans la simplicité, dans la beauté tout bêtement.

Merci à la vie, merci Albi, merci Ayo et merci Laure, Lucie et Eva qui nous ont gentiment pris en stop jusqu'à Toulouse ;)

NB : La photo n'est évidemment pas de moi mais j'en ai plein en attente sur mon mac reste plus qu'à les retravailler, les choisir etc.

Je vous embrasse à tous, les loulous !

Tourner la page...

... Définitivement.



Un garçon, des paroles à son Monsieur K pas du tout appropriées. Des pleurs, des envies de comprendre.
Mais à moment donné, quand ça fait 3 ans qu'on l'a perdu de vue, faut ne plus s'acharner, faut soit aller consulter, soit faire le tri et se dire que ce qu'on a en ce moment est sublime et que si on parle encore une fois de ce garçon passé, le garçon présent risque de prendre ses clics et ses clacs et ne plus jamais revenir.

Sur ce, je tracerai "définitivement" un trait sur cette histoire le 24 juillet.
C'est symbolique. M. K pourrait vous en parler, il le sait.
Je ne vais pas tout vous dire mais je suis heureuse aujourd'hui, j'aime cette homme plus que tout et pour rien au monde, je ne voudrais le laisser filer entre mes doigts.

Du grain dans mon café salé, svp.

et



puis



Merci à tous de votre attention. (oui je m'entraine :P)

On sème...

Et oui, ma logorrhée n'a même plus de filtre verbal.
C'est dingue heing ? :D

J'aime la vie qui se veut artistique malgré son côté simpliste.
J'aime la vie Qui se veut art.
J'aime la vie.
J'aime.
J'.

A blanc, Agora fidélio

Une dame sublime, de par sa chevelure et le mystère innée qu'elle dégage malgré elle.
J'aime regarder les femmes, les filles, c'est de notoriété commune.
J'aime les cheveluEs et les chevelus.
J'aime la personnalité.
J'aime le côté atypique que une personne.
J'aime l'art, même si ça fait branlette.
J'aime les gens.
J'aime la Révolution.
J'aime ratiociner pour le plaisir du superfétatoire.
J'aime la palabre poussée à son extrême.
J'aime la folie du moment.
J'aime les gens.
J'aime mourir à petit feu devant une belle chose.
J'aime les pastels.
J'aime la photo, plus que tout.

Coco ou pas coco, telle est la Q.

Bonjour,

Après une nuit blanche et une logorrhée à toute épreuve ce matin de 04h à 12h à la S.N.C.F., je me devais de vous parler.
Parler.
Parler de quelqu'un que j'aime.
Que j'aime profondément.
Pour ses idées.
Marcel.
Un coco de la vieille que j'aime parce que.
Parce que un des très bons potes de mon père qui s'il avait voté aurait voté Arlette.
Voilà, c'est dit, Marcel et Annie je vous aime.

Ernesto Guevara aura raison de nous et oui, Fidel... LOL.

Bonne après-midi à tous les coco de la terre.

Pour les autres, somation pour tous :P

Sur ce, jeunes gens, je dois me faire belle, M.O.P.A. passe à St Pierre ce soir et je veux voir Tristan de tout son art.

Merci la vie, je vous aime.
A ce soir, Clément.

Photojournalisme, profession en danger de mort

(Photo d'un musicos au Mandala, Toulouse.)

Je commence ce matin, à 4h du matin un métier à responsabilité à la SNCF. La voiX ! Non, pas celle de cette émission télé réalité à la noix dont je ne citerai même pas le nom tellement elle me débecte, mais SI je serais pendant les 2 mois à venir la VOIX la plus entendue de France.
Si ça c'est pas la classe internationale, je ne sais pas bien de quoi il retourne.
Et oui, je vais faire la voix, celle qui dans les gares de France et de Navare fait frémir d'impatience les voyageurs globe trotteurs du monde entier.
Celle qui fait peur quand il y a des grèves.
Celle qui donne envie parce qu'elle est plutôt suave.

Aie aie aie, et oui, de Juillet à Aout ça sera moi la Dame de la SNCF la plus respectable.



Je vous mets ce petit texte que je suis en train de lire dans un livre que je me suis offert il y a quelques mois de ça : "Horst FAAS, 50 ans de photojournalisme" - mon désir le plus fou et inavoué étant de devenir une photographe de guerre, à la Gilles CARON :

" Pour de nombreuses personnes, il semble impensable que des journalistes aient pu mourir au Vietnam, en Israël, en Inde ou au Biafra.
Je crois plutôt que c'est incroyable qu'il n'y ait plus de morts dans toutes les guerres qu'ils ont couvertes.
Nombreux sont les militaires qui m'ont dit que je devrais être mort depuis longtemps.
J'ai toujours fait très attention et mesuré les risques, comme un bon soldat, mais je crois aussi avoir eu beaucoup de chances. "

J'ai un rêve et il ...

Oui, tout comme Luther King ou d'autres grands bonshommes de ce genre, j'ai un rêve même deux.
Devenir photo reporter et faire la Révolution par l'image engagée.
Voilà, je ne vais pas palabrer pendant 10 ans, ça ne servirait à rien et de toute façon, les sceptiques n'ont qu'à aller voir ailleurs.



Oui je vais me payer mes études (je le redis parce que nombre de personnes de mon entourage ou pas ont une difficulté presque surhumaine à le croire) et oui, je vais changer les mentalités.
Et oui, s'il faut tuer un homme, je pense que je le ferais.
La vie est dure mais comme le disait à juste titre Søren Kierkegaard "Ce n'est pas le chemin qui est difficile, c'est le difficile qui est le chemin".

NB : Point, on passe à la ligne et ce soir, vous n'avez pas droit à votre image du jour parce que mon hébergeur d'images fait des siennes. (oups, est-ce que ça remarcherait ?)

Sur ce, à très vite et rêvez bien les gens.