Aniversario.

Ce soir, j'ai envie de me dévoiler un peu. Je l'ai beaucoup fait sur l'ancien blog et j'ai changé ce dernier un peu pour ça. Mais parfois l'appel du clavier est fort. J'ai commencé depuis hier à écrire au boulot (je bosse jusqu'à 1h du mat', ça laisse le temps). Je lis, j'écris, je fais passer un train de marchandise et je relis.
Et quand je lis un livre qui est la retranscription d'un blog, en fait plein de chapitres qui sont eux-mêmes la retranscription de la vie d'une famille entre les Simpsons et Almodovar, on se prend au jeu de suivre ligne par ligne et de rire à haute voix devant son chef qui doit se trouver circonspect mais en silence...

Du coup de lire ce genre de récit que je n'ai pas l'habitude de lire, ça m'a ouvert l'appétit de l'écriture.
Et me voilà repartie dans ma logorrhée qui gêne certain. M'enfin, je préfère être moi-même, n'en déplaise à certains chafouins...

Et du coup, ben oui, une vie pas tellement intéressante peut se raconter et même se faire lire par des gens inconnus pour lesquels on a tout à coup une sympathie inattendue après une visite sur leur blog après un commentaire à l'improviste.

Mince, j'ai perdu le fil. Enfin, il est 01h22 et on est le 24 juillet. Et je me sens mal à cause de cette date qui signifie beaucoup. Pouf, tout à coup, je me sens envahie d'une tristesse féroce que personne sauf lui peut arrêter. Mais il n'est pas là. Et pourtant, j'aimerais tant être prise dans ses bras.

Je vous laisse avec une photo. Rapport à cette date. Ou pas.
Bonne nuit.