mercredi 8 avril 2009

La génèse d'un mythe

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Sur cet air et ce sera tout, le reste parle de lui-même : http://www.jiwa.fr/#album/22174
Euh... Si en fait.

Ce garçon, c'est un tout, c'est une personnalité forte malgré elle, c'est des yeux de fouine, c'est un kuggg qui se veut simple et qui l'est, il est exigeant, il aime les autres, il aime les gens, il s'aime lui-même mais pas autant que les autres, il veut faire bien, il n'aime pas faire mal, il aime plaire, à moi, aux autres mais dans un sens différent, il veut, il a, il aura parce qu'il est.

Il veut tout avoir sans concession, il veut mes yeux, ma vie, mon passé, son passé dans le mien, notre futur dans le sien, dans le mien, tout sans pouvoir l'avoir.
Il déteste l'idée de ne pas l'avoir. "Non, c'est faux."
Il déteste mes anciens amants, il n'aime guère plus le fait que je parle souvent d'un en particulier, qui m'a touché, qui me touche et qui me touchera à vie je pense.
"Ce que je n'aime pas c'est que tu parles régulièrement de tes ex."

La photo, il l'aime bien à travers moi (il l'a connaissait avant. Une amie à lui, Claire "de Paris"), il en a peur à cause de moi, de ma personnalité extravertie, il angoisse pour ma future école, les repas dinatoires et les autres réunions entre élèves. "C'est faux." _ "J'angoisse pour toi pas pour ta future école."

Il rêve que je lui appartienne, que je suive sa route, que je l'aime comme un fou, avec ma folie, mes mots et mes maux.
Des maux j'en ai des tas, il ne veut pas comprendre que je l'ai aurais toujours.
Un adage : chasser le naturel et il revient au galop. Oui, mes parents m'ont toujours et avec véhémence inculqué ce proverbe, comme s'il n'était pas fait que pour faire bien dans un discours, comme si... comme si je devais le suivre, comme s'il devait suivre ma route, comme si je n'étais pas assez fidèle à mon désir pour ne pas le voir, pour le prendre et le mettre sous mon bras.

"Je te protège de tes relans de folie, qui font que parfois tu agis sans réfléchir."

Partir, j'en ai envie, depuis toujours. Refaire un "Into the wild", c'est mon désir le plus cher. Quoi que "Exil" n'est pas mal non plus.

Un jour, ça me piquera tellement que je partirai, j'irai en Alaska ("Tu devrais dire l'Andalousie, pas l'Alaska." - Je lui réponds : "Il est con ! C'est ça que j'aime chez toi, c'est cette connerie ambiante ! Je t'aime. Tu es MON homme, mon sweet homme.") ou ailleurs, mais je partirai, loin, loin de tout, avec une personne ou sans, là n'est plus le problème. "Pourquoi avec ou sans ? Pourquoi sans n'est plusle problème ?"
Je me suis longtemps sentie "anormale", trop souvent, trop, pourtant.
Pourtant, je ne veux pas y aller, je suis normale. Point.
Je veux vivre, je veux partir, orgasmifier ma vie, par les plaisirs de tous les jours.
Je veux mourir dans un paroxysme des sens, je peux le faire, je le sais, je le sens.
Je veux tout simplement.

Pour revenir au sujet de mon étude : il est. Il est un. Il est un homme. Un garçon, un enfant, un bébé qui aime le sein, y boire encore et encore.
Il me dit : "Tu es trop dans l'instant, tu ne penses pas aux gens que tu as côté de toi." Tu parles, tu loghorres tout le temps et puis un objet, un instant, une fille attire ton attention et tu pars, tu t'évanouis, tu t'envoles et tu n'es plus là."

De l'endroit où je suis on voit les bars de mer. Qui s'alongent puis remontent à mordre dans la terre. Yann, Tiersen. Je n'aime pas j'adore tellement que. Que rien.



Il veut ça, je lui laisse : http://www.jiwa.fr/#artist/147946 => "Dub en do mineur" ou autre.
Ca plait ou non, il me plait, je l'aime. Point. "C'est magnifique !", m'exclamais-je. Piouf, que je suis conne parfois.

Enfin, un dernier mot (maux ?) : j'aurais un nenfant de lui. Je vais avoir. Euh, on sait pas encore mais euh. Rien. Je serais une vraie vache à lait en tout cas, qu'il me dit.

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